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Histoire - Les extraterrestres exotiques - Les hombrecitos du Venezuela

De nos jours, la vision des extraterrestres dans l’univers de l’ufologie s’opère généralement selon une approche qui laisse penser que l’on aura à considérer des Aliens qui se révèleront être des gris (êtres qui se révèlent plutôt mauvais et manipulateurs).

 

Cette conception est bien trop limitée pour représenter la réalité du phénomène qui se base sur des observations et des rapports ou les rencontres avec d’autres entités sont fréquemment relatées.

 

Pour étayer ce discours, j’ai choisi de vous présenter au travers d’une série d’articles spécifiques, les différentes espèces d’extraterrestres qui, même si elles peuvent paraitre plutôt exotiques de nos jours, furent pourtant décrites au travers de faits assez fantastiques pour marquer l’histoire du phénomène.

 

Je commencerais par évoquer le cas de ceux qui furent nommés les hombrecitos du Venezuela. Ils défrayèrent les chroniques des médias du monde entier en 1954.

Ces extraterrestres qui s’avérèrent extrêmement agressifs furent fréquemment signalés au Venezuela en 1954 entre Novembre et Décembre.

 

 

Qui sont ces hombrecitos (ou petits hommes en espagnol) ?

Ils ne sont pas plus grands qu’un enfant, leur taille est d’environ 1m de haut ce qui explique leur surnom.

 

Ce sont des êtres velus disposant d’un poil raide et sombre.

 

Dotés de deux jambes terminées par ce qui semble être des pieds plats, ils avaient aussi deux bras dont chacun se terminait par des « mains » palmées et dotées de quatre longues griffes qui s’avérèrent aussi coupantes que des armes.

 

Pourvus d’une tête ronde on ne sait pas bien s’ils portaient ou non un casque car il n’a jamais été indiqué la présence d’oreilles, de bouche ou de nez.

 

A l’inverse les yeux sont bien identifiés et ils sont décrits comme grands, ovales, luisants et reflétant la lumière des phares comme le feraient ceux des chats.

 

Il n’a jamais été rapporté la présence de vêtements ou de combinaison en dehors d’une sorte de pagne étrange qui semblait couvrir ce qui pourrait être leur intimité.

 

Paraissant très légers, ces êtres ne disposaient pas moins d’une force assez conséquente qui empêchait un homme seul de les maîtriser.

 

Plusieurs dessins permettent de se représenter à quoi ils devaient ressembler. Je vous les présente ci-dessous.

 

hombrecito 1.jpg hombrecito 2.jpg hombrecito 3.jpg

Quand furent-ils signalés ?

Le premier cas s’est déroulé le 29 novembre 1954 à Petare (ville située non loin de Caracas et qui est le chef-lieu de la municipalité de Sucre dans l'État de Miranda au Venezuela).

 

Ce matin là entre 2h et 2h30 du matin deux hommes (Gustavo Gonzales, commerçant originaire de La Havane à Cuba, âgé de 25 ans et José Ponce son assistant qui résidait à Caracas) se rendaient en ville pour prendre livraison de denrées alimentaires.

 

Alors qu'ils s’engageaient dans une rue ils constatèrent qu’elle était illuminée comme en plein jour par un objet brillant qui de plus barrait le passage.

Cet objet semblait être une sphère métallique très lumineuse. Elle avait un diamètre estimé entre 2 et 4 mètres et elle planait de façon stationnaire. L’objet disposait sur les cotés de deux sortes de hublots d’un peu moins de 50. Une coupole surplombait l’ensemble.

 

Face à cet engin, M Gonzales arrêta sa camionnette. Incrédules les deux hommes commencèrent par regarder l'objet.

Au terme de quelques instants, Ils sortirent de leur véhicule pour se rapprocher jusqu'à environ 8 mètres de l'objet. Un être étrange fût alors remarqué par M Gonzales.

 

Haut d’environ un mètre, il qui se tenait devant la sphère.

 

M Gonzales eut tout d’abord le sentiment que quelque chose l'empêchait de bouger, mais il finit par pouvoir aller au devant de l’humanoïde bien décidé à le saisir pour l’emmener jusqu’à sa camionnette.

 

Parvenant à le soulever du sol, l’être lui sembla plutôt léger (25 à 50 kg).

 

Par contre, il s’avéra beaucoup fort que sa stature et son poids ne le laissaient présager. Ainsi, c’est sans difficulté et grâce à un coup d’une grande brutalité que l’être réussit à se défaire de la prise de M Gonzales pour l’envoyer rouler au sol.

 

Toujours aussi décidé à le capturer, M Gonzales se relevait avec l'intention de continuer la lutte.

 

Il ressentit alors comme une sorte de vibration qui lui traversait le corps. S’agissait-il d’une arme utilisée par l’extraterrestre et destinée à perturber l’humain ?

C’est fort possible car profitant de cet instant de répit le petit être passa à son tour à l’attaque en se dirigeant vers M Gonzales d’un bond. Se sentant menacé à son tour M Gonzales sortit instinctivement son couteau et tenta de poignarder l’être à l'épaule.

 

A sa grande surprise, la lame glissa sur la peau de l’être comme s’il disposait d’une armure métallique.

 

La bataille s’engagea de plus belle et M Gonzales vit deux autres extraterrestre s’approcher de lui pour venir apparemment en aide au premier.

 

L'un de ces deux nouveaux arrivants tenait une source lumineuse si éblouissante que M Gonzales fut aveuglé durant un instant ce qui permis aux trois extraterrestres de prendre la fuite.

 

De son coté M Ponce qui était également sorti de la camionnette avait observé la même scène sans y participer. Il a expliquer avoir vu un autre extraterrestre  arriver depuis un terrain qui se trouvait à droite de la route. La chose fut observée, grimpant le talus, avec ses mains jointes et portant quelque chose comme des cailloux ou des mottes de terre.

 

Ce nouvel être, dès qu'il vit M Ponce bondit à l'intérieur de la sphère par un saut de deux mètres et y pénétra par une ouverture qui figurait sur son flanc.

 

Il le vit réapparaitre quelques secondes plus tard avec un troisième être qui tenait quelque chose qui ressemblait à un long tube métallique brillant. Il pointa cet objet

vers M Gonzales. Une lumière très vive en sorti qui aveugla ce dernier.

 

Les extraterrestres regagnèrent alors la sphère qui décolla verticalement dans un bruit de sifflement et à grande vitesse.

 

gustavogonzaleshumanoides.jpg

 

M Ponce tourna les talons pour se diriger vers un poste de police qui se trouvait à proximité.

 

M Gonzales l'y rejoignait quelques minutes plus tard tout à la fois épuisé et terrorisé.

 

Après avoir bu un peu d’eau et récupéré, ils firent le récit de leur aventure à deux agents de garde (M Manuel Moreno et M E. Dominguez) lesquels confirmèrent plus tard que M Gonzales  et M Ponce n'étaient pas ivres, ni mentalement perturbés, qu’ils s’exprimaient bien et que leur récit, bien qu'étonnant, comportait tant de détails qu’il paraissait réel.

 

Les témoins sont demeurés un long moment au poste de police qui relevait de l'Inspectoria General de Transito (Inspection Générale des Transports).

 

Des tests furent opérés sur eux, ils permirent de confirmer qu'ils n’étaient pas sous influence de l’alcool.

 

M Gonzales fût  transféré à 15h au Poste d'Urgence Central de Esquina de Salas. Le personnel médical de garde qui l’ausculta constata de multiples contusions simples (dont des griffues) sur le flanc gauche de son corps.

 

Plus tard dans la journée de ce 29 Novembre, d'autres personnes se présentèrent au poste de police pour expliquer avoir entendu du bruit ou vu des lumières étranges à l’heure ou les faits se sont déroulés.

 

Ainsi, Mlle Maria Antonieta Avellaneda expliqua avoir été réveillée entre une et deux heures du matin par des bruits évoquant une détonation et un son sifflant.

 

M Garrachan, indiqua que plusieurs heures avant que ne se produise les faits, il avait vu avec d’autres témoins un étrange engin lumineux survoler silencieusement la ville. Il indiqua qu’ensuite à deux heures du matin, il avait lui aussi entendu une détonation qui provenait de la rue Bella Vista (lieu ou les faits se sont déroulés).

 

M. Manuel Maria Soria, qui résidait à proximité du lieu de l’incident et qui rentrait chez lui à 2h30 du matin expliqua avoir observé une puissante lumière qui illumina son véhicule au point de l’obliger à s'arrêter momentanément. Immédiatement, il entendit quelque chose qui ressemblait à un sifflement. Arrivé à son domicile sa mère, Juanita Soria, l’informa avoir entendu la même chose.

 

Le Dr. Julio Garces, laborantin de l'Hôpital Pérez de Leon à Petare, déclara être passé vers 2h du matin à proximité du lieu de l’incident. Il indiqua avoir entendu comme un cri de terreur, lancé par une voix effrayée. S arrêtant pour voir ce qui se passait il ne pu déterminer d’où cela provenait.

 

Mme Elsa Duderstad, déclara avoir observé avec son fils Rodolfo, une lumière intense en forme de disque qui volait au dessus de Petare en changeant de teinte, et qui demeura ainsi plusieurs minutes.

 

Melle Ursula déclara avoir assisté au même phénomène étrange.

 

La famille Caobos, dont les membres résident à Petare indiquèrent qu'à l'heure de l'incident, ils observèrent une lumière si brillante qui passait au-dessus de leur maison qu’elle illumina leurs chambres.

 

M- Francisco Leal, expliqua avoir lui aussi entendu l'explosion comme tous les voisins de son secteur.

 

Comme vous pouvez le constater de nombreuses preuves attestent que cette nuit là des choses étranges se sont bien produites.

 

Les hombrecitos allaient bientôt faire reparler d’eux.

 

 

L’incident suivant se produisit le 10 Décembre 1954 toujours au Venezuela.

 

Deux hommes étaient partis chasser de nuit quand leur attention fût attirée par un engin lumineux qui stationnait quelques mètres au dessus du sol dans la campagne.

 

Intrigués, les deux hommes (Jesus Gomez et Lorenzo Flores) s’approchèrent jusqu’à une dizaine de mètres de l’ovni.

 

Soudain, quatre hombrecitos surgirent et s’élancèrent vers les deux hommes. Leur attitude ne faisait aucun doute, ils semblaient agressifs et les deux hommes comprirent immédiatement qu’ils chercheraient à capturer l’un d’entre eux.

 

 Ils prirent aussitôt la fuite mais l’un deux (M Gomez) fût pris de panique et il perdit connaissance juste après avoir appelé M flores à son secours.

 

Ce dernier fit demi-tour et réussi à frapper violemment l’un des hombrecitos avec la crosse de son fusil ce qui le brisa net.

 

M Gomez déclarera plus tard qu’il avait eu l’impression de frapper quelque chose d’aussi dur que la pierre.

 

Face à cette résistance, les quatre extraterrestres quittèrent les lieux et se réfugièrent dans leur vaisseau qui s’éloigna à grande vitesse.

 

Les deux malheureuses victimes de cette aventure finirent par rejoindre un poste de police vers deux heures du matin.

L’enquête menée le lendemain sur les lieux de l’incident par les autorités permis d’observer que des buissons avaient été comme brulés, de plus des traces de lutte furent constatés, les morceaux du fusil cassé y figuraient justement.

 

 

Un dernier incident concernant les hombrecitos devait être signalé le 16 Décembre.

Le faits se sont déroulé à San Carlos des Zulia (capitale de l'État de Zulia) et ils concernèrent quatre hommes qui se déplaçaient en automobile au sein du parc du ministère de l’agriculture qui est situé dans les faubourgs de la ville.

 

Le véhicule s’arrêta quelques instants pour permettre à l’un des passagers (M Jesus Paz) de soulager un besoin naturel.

 

Au terme de quelques instants ses compagnons l’entendirent appeler au secours.

 

Se rendant sur les lieux, ils le trouvèrent inconscient et blessé, quelque chose l’avait visiblement attaqué.

 

Ils identifièrent rapidement quelqu’un qui se déplaçait dans les fourrés près du lieu de l’agression.

 

Deux des hommes lui donnèrent la chasse dont Luiz Meja qui était membre de la garde Nationale.

 

Ils finirent par voir un être de petite taille aussi velu qu’un singe qui se dirigeait vers un engin lumineux.

 

L’être sauta à l’intérieur de l’engin qui s’éleva dans les airs avant de s’éloigner dans un bruit de sifflement.

 

Quand il revient à lui, M Paz expliqua s’être trouvé face à un petit être velu qui semblait occuper à examiner des fleurs.

 

Surpris et apeuré M Paz prit la fuite mais visiblement pas assez rapidement puisque l’extraterrestre réussit à bondir sur lui avant de la frapper à la nuque.

 

Les examens médicaux menés à  l’hôpital confirmèrent les traces d’une agression sur le corps de M Paz qui présentait des blessures identiques à celles qu’aurait pu causer un animal sauvage.

 

Ce fût la dernière fois que ces hombrecitos agressifs furent signalés au Venezuela. Ils n’ont semble t-il jamais été signalé ailleurs.

 

Ces cas sont incontestables car étayés par de nombreuses déclarations toutes concordantes.



28/12/2015
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